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Dimitri Chostakovitch

Né à St Pétersbourg en 1906
Mort à Moscou le 9 août 1975

 
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Dimitri Chostakovitch
Dimitri Chostakovitch

Né à St Pétersbourg en 1906
Mort à Moscou le 9 août 1975

J’ai connu Chostakovitch par sa 10e Symphonie, que j’avais acquise un peut par hasard car, vu de loin, ce compositeur me paraissait bien redoutable. Avec le temps je m’aperçois qu’il est un de mes compositeurs préférés. Je me sens à l’aise dans sa musique, même si beaucoup d’œuvres ne sont pas notées comme remarquables je les réécoute volontiers. Il y a dans cette musique une vibration curieuse avec laquelle je me sens en phase, et qui recharge mon énergie. Il est la référence de la musique russe du XX e siècle. Stravinsky étant pour mon goût très en dessous de Chostakovitch..

DD…

« Je ne conçois pas, en ce qui me concerne, d’évolution musicale hors de notre “évolution socialiste”. Et l’objectif que j’assigne à mon œuvre est de contribuer de toutes les manières à l’édification de notre grand et merveilleux pays. Il ne saurait y avoir de meilleure satisfaction, pour un compositeur, que d’avoir aidé, par son activité créatrice, à l’essor de la culture musicale soviétique, appelée à jouer un rôle primordial dans la refonte de la conscience humaine. » Chostakovitch 1936

Dmitri Dmitrievitch Chostakovitch est né à Saint-Pétersbourg en 1906. À la différence de Glinka de Moussorgski et de Rimski-Korsakov il n’a pas vécu une quiète enfance provinciale de fils de hobereaux ; il a toujours connu une atmosphère troublée par la récente « révolution avortée » de 1905 et le pressentiment d’inéluctables bouleversements. Alors qu’il avait onze ans, un camarade de son âge fut tué sous ses yeux, en pleine rue, par un gendarme de la police tzariste, et ce drame semble l’avoir définitivement marqué.

La même année, il composait un Hymne à la liberté ; à treize ans, il fut admis au Conservatoire de Petrograd. En 1925 avait lieu la création de sa Symphonie no 1 que Bruno Walter, Stokowski et Toscanini faisaient triompher dans le monde entier dès l’année suivante. Avec cette symphonie, la musique de Chostakovitch devient un reflet fidèle de l’histoire de la musique en U.R.S.S. De 1925 à 1935 il écrit ses œuvres les plus « téméraires » : deux symphonies fortement critiquées en raison de leur « modernisme outrancier » ; deux opéras (Le Nez , d’après Gogol, créé en 1930, et Lady Macbeth de Mzensk, d’après Leskov, créé en 1934 ; plus tard, cette Lady Macbeth est devenue Katerina Ismaïlova ) ; deux ballets (L’Âge d’or et L’Écrou) où se manifeste son adhésion à l’« avant-garde ». Cela lui vaut un premier rappel à l’ordre en 1936. Convaincu de s’être fourvoyé et de n’avoir pas su parler à ses contemporains comme il l’avait souhaité, il acquiesça et produisit une série d’œuvres à tendance sociale et héroïque, notamment les Symphonies nos 5 à 9 : la cinquième illustre le devenir de l’homme soviétique ; la septième et la huitième, écrites pendant la guerre, évoquent respectivement la résistance de Leningrad et la bataille de Stalingrad ; la neuvième est la Symphonie de la victoire.

Il se soumet au « rapport Jdanov », qui lui vaut un nouveau rappel à l’ordre, et compose un chef-d’œuvre : Le Chant des forêts (1949). Ensuite, une libéralisation progressive lui permet de s’exprimer comme il l’entend. Il est l’auteur de quinze symphonies, de nombreuses pièces de musique de chambre (dont douze quatuors à cordes), de divers concertos, de deux opéras, d’une opérette, de deux ballets, de mélodies, de chansons, de musiques de films, etc.

Une « pensée polyphonique »

Chostakovitch utilise plus volontiers des motifs que des thèmes ou des mélodies (bien qu’il lui arrive de faire « chanter » de beaux thèmes lyriques), et cela est dû au fait que sa pensée est foncièrement polyphonique ; or, le motif se prête mieux à l’écriture en contrepoint. Les motifs de Chostakovitch, en règle générale, s’étirent sur de longs intervalles (il a l’oreille « instrumentale » ; ainsi l’ut3 et l’ut4 ne représentent pas une octave, mais, pour lui, deux notes totalement différentes) et dessinent des courbes tourmentées et inattendues qui autorisent de multiples modulations.

En ce qui concerne les procédés d’orchestration, il utilise également les données de son oreille instrumentale : volumineuse et chargée dans les moments de paroxysme, l’instrumentation est claire dans son ensemble, et sa couleur doit beaucoup à Tchaïkovski (« Chacune de ses symphonies, chacun de ses opéras sont des leçons d’orchestration ! » a écrit Chostakovitch).

D’autre part, c’est un admirateur enthousiaste de Mahler. Comme lui, il est attiré par les grandes fresques, par le volume sonore. Mais le volume sonore n’est-il pas caractéristique des périodes révolutionnaires ou dramatiques – témoins Méhul\ Gossec\, et Lesueur, Berlioz et Wagner, et Richard Strauss.

Comme Mahler, épris de vérité humaine, considérant le monde avec émerveillement et répulsion, avec amour et horreur, avec un joyeux optimisme et un pessimisme grinçant, il écrit de grandes symphonies (d’une valeur qui n’est pas toujours égale, il faut bien le reconnaître). De même que chez Mahler, le grottesco occupe une place importante dans ses partitions, notamment dans les scherzos : un grottesco dérivé du troisième mouvement de la Symphonie pathétique de Tchaïkovski et de la morbidezza de Mahler (l’« enterrement du chasseur » de la Première Symphonie, le rondo burlesco de la Neuvième, etc) ; mais le grottesco de Chostakovitch est autrement coléreux (surtout dans Katerina Izmaïlova, qui incarne sa propre révolte contre l’obscurantisme), et encore plus personnel, semble-t-il.

Un citoyen soviétique

Dès l’adolescence, Chostakovitch a apporté au régime soviétique une adhésion totale, sans réserve : il s’enorgueillit d’être un citoyen de l’U.R.S.S. et de pouvoir coopérer à l’« édification de la Cité ». Communiste sincère et idéaliste, il ne conçoit point son art séparé du « tout » auquel il a fait don de sa musique.

Il faut donc le considérer de son propre point de vue : il sert son idéal avec autant de conviction, de ferveur et de pureté que Bach et Beethoven\ont servi chacun le leur. Vouloir séparer le « bon grain » de l’« ivraie », c’est prendre un faux départ, c’est s’engager dans une voie aussi vaine que celle qui amène certains à aimer la Symphonie de Leningrad parce qu’elle est « soviétique », et certains autres à la dénigrer pour la même raison ! La musique de Chostakovitch ne se juge pas à sa couleur politique, mais à sa valeur humaine : c’est un homme qui s’est mis tout entier dans son œuvre, avec ses doutes, ses angoisses et ses victoires ; un musicien qui a choisi l’homme et l’humanisme pour idéal suprême, en appliquant à la lettre une formule chère à Moussorgski : « Je veux parler aux hommes le langage du vrai ! »

Quelle sorte de vrai ? Une vérité universelle qui déborde le cadre de son actualité ; une vérité qui d’instinct préfère le style oratoire à celui de la confession ; une vérité libre de tout système, car la pensée compte plus que le langage en soi. Pour Chostakovitch, le « quoi », c’est-à-dire le fond, importe davantage que le « comment », la forme.

La parution, en 1980, des Mémoires de Chostakovitch recueillis par Solomon Volkov n’a pas modifié les aspects visibles de la biographie du compositeur. Malgré les doutes qui pourraient subsister sur son authenticité ou son objectivité, cette source nouvelle permet cependant d’éclairer les rapports de Chostakovitch avec le pouvoir soviétique et Staline, ses disgrâces successives, notamment en 1936 et 1948, et la nature des sentiments qu’il pouvait nourrir envers les autorités officielles. Les Mémoires aident à préciser certains points particuliers, comme ses relations avec l’avant-garde dans les premières années de la jeune République, surtout avec Maïakovski et Meyerhold, ainsi que sur l’importance accordée à sa musique de film.

Guy Erismann

Musicologue

  • Œuvres avec N° d’opus
  • Œuvres sans N° d’opus

A) Œuvres avec N° d’opus

Three Fantastic Dances op.5

  1. Allegretto
  2. Andantino
  3. Allegretto

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

Symphonie N°1, Op.10 1925

  • Allegretto
  • Allegro
  • Lento
  • Allegro molto

Naxos 8.550623

Aphorisms (piano)Op.13

  1. Recitative
  2. Serenade
  3. Nocturne
  4. Elegy
  5. Marche Funebre
  6. Etude
  7. Dance of Death
  8. Canon
  9. Legend
  • Lullaby

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

Symphonie N°2, “Oc tobre”, Op.14

Naxos 8.550624

Symphonie N°3, Op.20

  • Allegretto – Allegro – Andante – Allegro – Largo - Moderato

Naxos 8.550623

Les montagnes d’or (musique du film éponyme), Op.30 1931

  • Introduction
  • Valse & III. Fugue
  • Intermezzo
  • Marche funèbre
  • Final

C° Chandos Tome II des musiquer de film de Chostakovitch

Concerto pour piano et orchestre N°1, Op.35

  • Allegretto
  • Lento
  • Moderato
  • Allegro con brio

Decca

LADY MACBETH DE MTSENK 1934

Opéra en quatre actes sur un livret de Chostakovitch et Preis d’après Nikolaï Leskov

À l’automne de 1930, Dmitri Chostakovitch s’attelle à la composition d’un opéra en quatre actes sur un livret qu’il a élaboré avec le dramaturge Alexandre Preis d’après un court récit de Nikolaï Semenovitch Leskov Lady Macbeth du district de Mzensk (Ledi Makbet Mtsenskogo uyezda, 1865). L’opéra est une peinture sombre de l’ennui dans la province russe et de la condition pénitentiaire tsariste : une jeune femme, Katerina Ismaïlova, déçue par son mari, le trompe avec Sergueï, assassine son beau-père puis son mari, est condamnée au bagne avec son amant ; sur le chemin de la Sibérie, Sergueï trompe Katerina avec une autre prisonnière ; folle de jalousie, Katerina attire sa rivale sur les berges d’un fleuve dans l’intention de la noyer mais les deux femmes tombent à l’eau et périssent ensemble.

Lady Macbeth de Mzensk est créé le 22 janvier 1934 au Théâtre Maly de Leningrad, dans une mise en scène de Nikolaï Smolitch, et représenté deux jours plus tard à Moscou, au théâtre Stanislavski Nemirovitch-Dantchenko, dans une mise en scène de Vladimir Nemirovitch-Dantchenko, sous le titre Katerina Ismaïlova. Ces deux titres reflètent deux conceptions différentes de la mise en scène : celle de Leningrad met l’accent sur l’aspect satirique de l’œuvre alors que celle de Moscou est centrée sur la nature tragique du personnage de Katerina. Mêlant le grotesque et le tragique, intégrant des idiomes musicaux très diversifiés, l’opéra s’affirme immédiatement comme une des grandes partitions lyriques du XXe siècle et connaît un immense succès auprès du public et de la critique : il sera représenté presque deux cents fois au Maly, au Nemirovitch-Dantchenko et au Bolchoï, jusqu’à la publication dans la Pravda du 28 janvier 1936 d’un article anonyme, « Le Chaos remplace la musique », qui attaque violemment le compositeur et son ouvrage : Staline, Molotov, Mikoyan et Jdanov, qui avaient assisté le 26 janvier à une représentation de Lady Macbeth de Mzensk au Bolchoï, étaient sortis outrés. Il ne fait pratiquement aucun doute que Staline lui-même a participé à la rédaction de l’article, qui souligne la « lubricité », le « chaos gauchiste » et le « formalisme petit-bourgeois » allant à l’encontre de « ce que le public soviétique attend et cherche dans la musique » de Lady Macbeth, qui va disparaître brutalement des scènes soviétiques durant trois décennies.

Acte I

Scène I

  • V Akh, nye spitsa bol’she, poprobuyu (Katerina)
  • dyévkakh lùchshe bylo(Katerina)
  • Gribki sevodnya bùdut? (Boris, Katerina)
  • Prigotov otravu dlya krys (Boris, Katerina)
  • Govori!... plotinu-to na (Zinoviy Mill-hand Choeur Sergey Coachman)
  • Proshchay (Katerina)
  • Chevo vstal? Chevo ostanovilsa? (Aksinya Boris)
  • Interlude

Scène II

  • Ay ! Ay ! Ay ! (Aksinya Shabby Porteur Chœur Serguey)
  • Barynyal !… A !… Shoton s toboyu ? (Shabby Katerina Aksinya Porteur Serguey)
  • A nu-s, Pozvol’te ruku-s (Serguey Katerina Shabby Boris)
  • Interlude

Scène III

  • Spat' pora, Dyen proshoi (Katerina Boris)
  • Zherebyonok k kobyike toropitsa (Katerina)
  • Kto éto, kto, kto stuchit ? (Serguey Katerina)
  • Ya poydu... Proshchay.. (Serguey Katerina Boris)

Acte II

Scène I

  • Shto znânchit stârost(Boris)
  • pod ökanmi u chzuhikh(Boris)
  • Proschchay, Katya, Proschchay ! (Serguey Boris Katerina Chœur Shabby Porteur)
  • Usta!... Prikazhete mnye Pstegat?

EMI Volume 1

Scène V

EMI Volume 2

Sonate pour violoncelle Op.4O 1934

Transcription pour Violon d’Annette Barthlody

  • Allegro non troppo
  • Allegro
  • Larg o
  • Allegro

Naxos 8.557231

Symphonie N°4, Op.43 1935

  • Allegretto poco moderato
  • Moderato con moto
  • Largo Allegretto

Naxos 8.550625

Symphonie N°5, Op.47

  • Moderato
  • Allegretto
  • Largo
  • Allegro non toppo

Naxos 8.550632

Les journées de Volochaïev , Suite d’après le film Op.48 1937

  • Ouverture
  • Attaque japonaise
  • Fragment

C° Chandos Tome II des musiquer de film de Chostakovitch

Quatuor à corde N°1, en Ut majeur Op.49 1935

  • Moderato
  • Moderato
  • Allegro molto
  • Allegro

Brillant classic 6429/5

Symphonie N°6, Op.53 1939

  • Largo
  • Allegro
  • Presto

Naxos 8.550626

Symphonie N°7,”Leningrad”, Op.60 1941

  • Allegretto
  • Moderato poco allegretto
  • Adagio
  • Allegro ma non troppo

Naxos 8.550632

Piano Sonata No. 2 Op.61

  1. Allegretto
  2. Largo
  3. Moderato con Moto

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

LES JOUEURS 1941

Opéra inachevé d’après GOGOL

  • Alexeï – Ikhalev
  • Chvokhniev – Gavriouchka
  • Ikhalev- Alexeï
  • Le jeu

Harmonia Mondi

Symphonie N°8, Op.65 1943

  • Adagio
  • Allegretto
  • Allegro ma non troppo
  • Largo
  • Allegretto

Naxos 8.550628

Quatuor à corde N°2, en La majeur Op.68 1944

  • Ouverture : Allegro con moto
  • Récitatif et Romance : Adagio
  • Valse : (Allegro)
  • Thème et variations : Adagio

Brillant classic 6429/1

Symphonie N°9, Op.70 « Symphonie de la victoire »1948

  • Allegro
  • Moderato
  • Presto
  • Largo
  • Allegretto

Naxos 8.550632

* Cette fameuse symphonie a faillie lui coûter la vie. L’allegro, avec le thème guilleret, est à rapprocher de l’allegretto du quatuor qui suit mais qui à été écrit avant.

Quatuor à corde N°3, en Fa majeur Op.73 1946

  • Allegretto
  • Moderato con moto
  • Allegro ma non troppo
  • Adagio
  • Moderato

Brillant classic 6429/2

Quatuor à corde N°4, en Ré majeur Op.83 1949

  • Allegretto
  • Andantino
  • Allegretto
  • Allegretto

Brillant classic 6429/4

24 Préludes et fugues pour piano, Op.87 1950-1951

  • Prélude N°1
  • Fugues N°1
  • Prélude N°2
  • Fugues N°2
  • Prélude N°3
  • Fugues N°3
  • Prélude N°4
  • Fugues N°4
  • Prélude N°5
  • Fugues N°5
  • Prélude N°6
  • Fugues N°6
  • Prélude N°7
  • Fugues N°7
  • Prélude N°8
  • Fugues N°8
  • Prélude N°9
  • Fugues N°9
  • Prélude N°10
  • Fugues N°10

Hyperium Vol 1/3

  • Prélude N°11
  • Fugues N°11
  • Prélude N°12
  • Fugues N°12
  • Prélude N°13
  • Fugues N°13
  • Prélude N°14
  • Fugues N°14
  • Prélude N°15
  • Fugues N°15
  • Prélude N°16
  • Fugues N°16
  • Prélude N°17
  • Fugues N°17

Hyperium Vol 2/3

  • Prélude N°18
  • Fugues N°18
  • Prélude N°19
  • Fugues N°19
  • Prélude N°20
  • Fugues N°20
  • Prélude N°21
  • Fugues N°21
  • Prélude N°22
  • Fugues N°22
  • Prélude N°23
  • Fugues N°23
  • Prélude N°24
  • Fugues N°24

Hyperion

Dix chœurs sur des textes de poètes révolutionnaires, Op.88 1951

Chœur à quatre voix à capella

  • Hardi, camarades, avançons (Radine)
  • Un parmi tant d’autres (E. Tarasov)
  • Dans la rue
  • Rencontre lors d’un transfert (A. Gmirev)
  • A ceux qui ont été exécutés (A. Gmirev)
  • Le 9 janvier (A. Katz)
  • Les dernières salves (E. Tarasov)
  • Ils ont vaincu (A. Gmirev)
  • Chant de mai (A. Kots)
  • Chant (d’après Wlat Witman)

Harmonia mundi

Quatuor à corde N°5, en Si bémol majeur Op.92 1952

  • Allegro non troppo
  • Andante
  • Moderato

Brillant classic 6429/3

Symphonie N°10, Op.93

  • Moderato
  • Allegro ***
  • Allegretto
  • Andante - Allegro

Naxos 8.550326

Le taon, (Gadfly) (suite orchestrale d’après le film), Op.97a 1955

  • Ouverture
  • Contredanse
  • Fête folklorique**
  • Interlude
  • Barrel-Orgue (valse)
  • Galop
  • Introduction (prélude)
  • Romance
  • Intermezzo
  • Nocturne
  • Scène
  • Final

Naxos 8.553299 & C° Chandos Tome II des musiquer de film de Chostakovitch

Short Piece

  1. The Gadfly - Short Piece
  2. The Gadfly - Spanish Dance

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

Quatuor à corde N°6, en Sol majeur Op.101 1956

  • Allegretto
  • Moderato con moto
  • Lento
  • Lento - Allegretto

Brillant classic 6429/4

Symphonie N°11, Op.103 1957

  • Le Square
  • Le 9 janvier
  • In memoriam
  • Le tocsin

Naxos 8.550629

Concerto pour violoncelle et orchestre N°1, Op.107

  • Allegretto
  • Moderato
  • Cadenza
  • Allegro con moto

Naxos 8.550813

* Cf. le quatuor N°8

Quatuor à corde N°7, en Fa dièse mineur, Op.108 1960

  • Allegretto
  • Lento
  • Allegro

Brillant classic 6429/2

Quatuor à corde N°8, en Ut mineur Op.110 1960

Dédié aux victimes des guerres et du fascisme

  • Largo
  • Allegro molto
  • Allegretto
  • Largo
  • Largo

Brillant classic 6429/1

* Thème d’origine Juive pour le 2 e mouvement, thème commun avec le trio N°2, pour le 3 e mouvement thème commun avec le concerto pour violoncelle N°1.

Cinq jours et cinq nuits, (suite orchestrale d’après le film), Op.111a

  • introduction
  • Dresde en ruine
  • Libération de Dresde
  • Intermezzo
  • final

Naxos 8.553299

Symphonie N°12, “L’année 1917”, Op.112

  • Révolution dans Pétrograd
  • Razliv
  • Aurore
  • Dawn of humniaty

Naxos 8.550626

Symphonie N°13, “Babi yar”, Op.113

  • Babi yar
  • Yumor (humour)
  • V magazine (au magazin)
  • Strachi
  • Kariera

Naxos 8.550630

HAMLET

Musique du film de 1964 Op.116/116a

Suite N°1

  • Ouverture
  • Marche militaire
  • Fanfares

Suite N°2

  • Bal au Palais
  • Histoire d’Horatio et du fantôme
  • Le bal

Suite N°3

  • Le fantôme
  • Hamlet part avec Ophélie
  • Musique au Palais

Suite N°6

  • Arrivée des joueurs
  • Monologue
  • Monologue d’Hamlet
  • Fanfare Royale

Suite N°4

  • Dans le jardin
  • Fanfares

Suite N°5

  • Scène du poison
  • Les Flûtes
  • La folie d’Ophélie
  • Ophélie

Suite N°7

  • La mort d’Ophélie
  • Hamlet et Ophélie
  • Le cimetière

Suite N°8

  • Le duel - la mort d’Hamlet – ses funérailles

Naxos 6.110062 SACD

Quatuor à corde N°9 en Mi bémol majeur Op.117 1964

  • Moderato con moto
  • Adagio
  • Allegretto
  • Adagio
  • Allegro

Brillant classic 6429/2

Quatuor à corde N°10, en La bémol majeur Op.118 1964

  • Andante
  • Allegetto furioso
  • Adagio
  • Allegretto

Brillant classic 6429/4

Quatuor à corde N°11, en Fa mineur, Op.122 1966

  • Introduction : Andantino
  • Scherzo : Allegretto
  • Recitativo : Adagio
  • Etude: Allegro
  • Humoresque : Allegro
  • Elegie : Adagio
  • Conclusion : Moderato

Brillant classic 6429/3

Concerto pour violoncelle N°2, Op.126

  • Largo
  • Allegretto
  • Allegretto

Naxos 8.550813

Quatuor à corde N°12, en Ré bémol majeur, Op.133 1968

  • Moderato
  • Allegretto

Brillant classic 6429/3

Symphonie N°14, Op.135 1969

Dédiée à Benjamin Britten

  • De profundis
  • Malaguena
  • Lareley
  • Le suicide
  • L’alerte
  • Regarder, Madame !
  • A la prison de la Santé
  • Le replis des cosaques de Zaporozhye devant le sultan de Constantinople
  • O Delvig, Delvig !
  • La mort du Poète
  • Conclusion

Naxos 8.550624

* Une des œuvres les plus ennuyeuses de cet auteur.

Quator à corde N°13, en Si bémol mineur Op.138 1970

  • Adagio

Brillant classic 6429/1

* J’écoutai cette œuvre un jour en consultant. Une petite patiente de 5ans me demanda très sérieusement pourquoi on ne donnait pas à boire aux canards qui avaient soif ! Je me suis depuis demandé ce qu’en aurait pensé Chostakovitch. Le symbolise est intuitif et ses voies neurologique sont étroitement associé à celle de la musique, voir sont les même.

Symphonie N°15, Op.141

  • Allegretto
  • Adagio
  • Allegretto
  • Adagio

Naxos 8.550624

Quatuor à corde N°14, en Fa dièse majeur Op.142 1973

  • Allegretto
  • Adagio
  • Allegretto

Brillant classic 6429/5

Quatuor à corde N°15, en Mi bémol mineur Op.144 1974

  • Elegy (Adagio)
  • Serenade (Adagio)
  • Intermezzo (Adagio)
  • Nocturne (Adagio)
  • Marche funèbre (Adagio molto)
  • Epilogue (Adagio)

Brillant classic 6429/5

Sonate pour Violon et piano Op.147 1975

  • Moderato
  • Allegretto
  • Adagio

Naxos 8.557231

B) Œuvres sans N° d’opus

Jazz suite N°1

  • Valse
  • Polka
  • Foxtrot

Decca

Jazz suite N°2

  • Marche

* Voici une marche que n’aurait pas désavoué Sousa …

  • Valse lyrique
  • Danse N°1
  • Valse N°1
  • Petite polka
  • Valse N°2***
  • Danse N°2
  • Finale

Decca

Dix chants populaires russes,

  • Pour voix solistes, chœur mixte et piano
  • Un coup de tonnerre sur Moscou
  • Par-delà les montagnes, par-delà les vallées
  • Sortis d’une forêt de lances et d’épées
  • Nuits sombres, nuages menaçants
  • Le cri du coucou
  • L’allumette
  • Le bois de sapin
  • Dans le jardin de mon père
  • Je dis à mon bien-aimé
  • Quels sont ces chants ?

Harmnoia mundi

Five Preludes (piano)

  1. Allegro Moderato e Scherzando
  2. Andante
  3. Allegro Moderato
  4. Moderato
  5. Andantino

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

Lyric Waltz (Piano)

  1. Dances of the Dolls

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

The Limpid Stream – Piano

  1. Nocturne

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

The Golden Age (Piano)

  1. Polka

C° Chostakovitch Œuvres pour piano

texte de Didier Descouens (email)

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